Hommage au cheval et à ceux qui ont su lui rendre toute sa grâce, lui qui, depuis Xénophon, permet à l’Homme d’être ce qu’il est, pour le pire et le meilleur.

Cavalier passionné, Jules L.G. a pris la caméra pour la première fois lors de la Coupe du Monde de Dressage en 2004 à Saumur, afin de réaliser « Sang d’Or », un court métrage sélectionné au Festival du Film de Cabourg en 2006.
Toujours en 2004, lors du jumping international de Palexpo, il rencontre Michel Robert, cavalier émérite, qui lui offre un interview exclusif de 45 minutes.
C’est donc par le cheval que le réalisateur met le pied à l’étrier du monde audiovisuel.
Encore aujourd’hui, qu’il s’agisse de documentaires ou de films expérimentaux, l’ombre de l’équidé demeure omniprésente dans son univers cinématographique.